Le plus beau jour du reste de ma vie" présenté le dimanche 28 janvier par le Théâtre Métro Ateliers à Lyon 2e Arrondissement, Théâtre Métro Ateliers Iln’y a pas de plus beau jour. Ce sont des instants de bonheur, toute la journée, tout le temps : une minute, deux minutes, trente secondes, qui sont toujours des instants de bonheur. Une sexagénaire, elle, en choisit de nombreux : J’ai 62 ans alors je réfléchis, je ne peux pas vous dire comme ça. J’en ai eu plusieurs, mais je Théâtre Le plus beau dans tout ça; Théâtre. Le plus beau dans tout ça. La rivalité masculine en combat singulier. De. Laurent Ruquier . Mise en scène. Steve Suissa assisté de Stéphanie Froeliger. Avec. Régis Laspallès, Pauline Lefèvre, Françoise Lépine, Agustin Galiana. Notre recommandation. 4/5. Infos & réservation. Théâtre des Variétés. 7, boulevard Montmartre. LEPLUS BEAU JOUR DE MA VIE; Tous les avis; Avis des spectateurs pour: LE PLUS BEAU JOUR DE MA VIE 4.5 sur 80 notes. Rédiger un avis 5 Un pur moment de détente et de franche rigolade. Merci aux comédiens pour leur prestation de haut niveau, ils nous ont regalé. Le Plus Beau Jour de Ma Vie à voir et à revoir ! Paula -17/08/2022 5 Nous avons Avissur Du Théâtre Interactif Pour (Dé)Jouer Le Réel de bernard grosjean Format Beau livre - Livres Théâtre. Note : 0 0 avis sur Du Théâtre Interactif Pour (Dé)Jouer Le Réel de bernard grosjean Format Beau livre - Livres Théâtre. Donnez votre avis et cumulez 5. Cumulez 5 en donnant votre avis. Votre note * : 1/5 2/5 3/5 4/5 5/5. Le titre de votre avis* : Quelques Lesdialogues et les répliques (plutôt plates dans l’ensemble) ne sont pas non plus à la fête et si l’ensemble se regarde agréablement (ne boudons pas notre plaisir) on ne peut pas dire que l’on assiste à la comédie de l’année. . Publié le mercredi 25 mai 2016 à 19h15 A l'occasion du bac de français 2016, La Cie des auteurs propose de passer l'épreuve avec l'aide d'un professeur et de ses élèves ainsi qu'un écrivain. Voici le corpus théâtre de l'épreuve du bac 2011 avec le sujet et les questions de commentaire. La Compagnie des auteurs consacrée à la poésie pour la semaine spéciale bac de français est à retrouver ici avec la classe du Lycée Joliot-Curie de Nanterre, leur professeure Marie-Sandrine Lamoureux et l'écrivaine et dramatugre Christine Montalbetti. TEXTE 1. Jean Giraudoux, Amphitryon 38, acte I scène 5 1929 [Jupiter veut séduire Alcmène qui est résolument fidèle à Amphitryon, son mari. Pour l’approcher et parvenir à ses fins, il lui faut donc éloigner celui-ci en l’envoyant à la guerre et prendre son apparence tandis que Mercure prendra celle de Sosie, le serviteur d’Amphitryon. Jupiter achève sa métamorphose avant de se présenter devant Alcmène. ] MERCURE C’est votre corps entier qui doit être sans défaut… Venez là, à la lumière, que je vous ajuste votre uniforme d’homme… Plus près, je vois Mes yeux sont bien ?MERCURE Voyons vos yeux… Trop brillants… Ils ne sont qu’un iris, sans cornée, pas de soupçon de glande lacrymale; – peut-être allez-vous avoir à pleurer ; – et les regards au lieu d’irradier des nerfs optiques, vous arrivent d’un foyer extérieur à vous à travers votre crâne… Ne commandez pas au soleil vos regards humains. La lumière des yeux terrestres correspond exactement à l’obscurité complète dans notre ciel… Même les assassins n’ont là que deux veilleuses… Vous ne preniez pas de prunelles, dans vos précédentes aventures?JUPITER Jamais, j’ai oublié… Comme ceci, les prunelles ?MERCURE Non, non, pas de phosphore… Changez ces yeux de chat ! On voit encore vos prunelles au travers de vos paupières quand vous clignez… On ne peut se voir dans ces yeux-là… Mettez-leur un L’aventurine ne ferait pas mal, avec ses reflets d’ À la peau maintenant !JUPITER À ma peau ?MERCURE Trop lisse, trop douce, votre peau… C’est de la peau d’enfant. Il faut une peau sur laquelle le vent ait trente ans soufflé, qui ait trente ans plongé dans l’air et dans la mer, bref qui ait son goût, car on la goûtera. Les autres femmes ne disaient rien, en constatant que la peau de Jupiter avait goût d’enfant ?JUPITER Leurs caresses n’en étaient pas plus Cette peau-là ne ferait pas deux voyages… Et resserrez un peu votre sac humain, vous y flottez!JUPITER C’est que cela me gêne… Voilà que je sens mon cœur battre, mes artères se gonfler, mes veines s’affaisser… Je me sens devenir un filtre, un sablier de sang…L’heure humaine bat en moi à me meurtrir. J’espère que mes pauvres hommes ne souffrent pas cela…MERCURE Le jour de leur naissance et le jour de leur Très désagréable, de se sentir naître et mourir à la Ce ne l’est pas moins, par opération As-tu maintenant l’impression d’être devant un homme ?MERCURE Pas encore. Ce que je constate surtout, devant un homme, devant un corps vivant d’homme, c’est qu’il change à chaque seconde, qu’incessamment il vieillit. Jusque dans ses yeux, je vois la lumière Essayons. Et pour m’y habituer, je me répète je vais mourir, je vais mourir…MERCURE Oh ! Oh ! Un peu vite ! Je vois vos cheveux pousser, vos ongles s’allonger, vos rides se creuser…Là, là, plus lentement, ménagez vos ventricules. Vous vivez en ce moment la vie d’un chien ou d’un Comme cela ?MERCURE Les battements trop espacés maintenant. C’est le rythme des poissons…Là… là… Voilà ce galop moyen, cet amble, auquel Amphitryon reconnaît ses chevaux et Alcmène le cœur de son mari...JUPITER Tes dernières recommandations ?MERCURE Et votre cerveau ?JUPITER Mon cerveau ?MERCURE Oui, votre cerveau… Il convient d’y remplacer d’urgence les notions divines par les humaines… Que pensez-vous ? Que croyez-vous ? Quelles sont vos vues de l’univers, maintenant que vous êtes homme?JUPITER Mes vues de l’univers ? Je crois que cette terre plate est toute plate, que l’eau est simplement de l’eau, que l’air est simplement de l’air, la nature la nature, et l’esprit l’esprit… C’est tout ?MERCURE Avez-vous le désir de séparer vos cheveux par une raie et de les maintenir par un fixatif ?JUPITER En effet, je l’ Avez-vous l’idée que vous seul existez, que vous n’êtes sûr que de votre propre existence ?JUPITER Oui. C’est même très curieux d’être ainsi emprisonné en Avez-vous l’idée que vous pourrez mourir un jour ?JUPITER Non. Que mes amis mourront, pauvres amis, hélas oui ! Mais pas Avez-vous oublié toutes celles que vous avez déjà aimées ?JUPITER Moi ? Aimer ? Je n’ai jamais aimé personne ! Je n’ai jamais aimé qu’ Très bien ! Et ce ciel, qu’en pensez-vous ?JUPITER Ce ciel, je pense qu’il est à moi, et beaucoup plus depuis que je suis mort que lorsque j’étais Jupiter! Et ce système solaire, je pense qu’il est bien petit, et la terre immense, et je me sens soudain plus beau qu’Apollon, plus brave et plus capable d’exploits amoureux que Mars, et pour la première fois, je me crois, je me vois, je me sens vraiment maître des Alors vous voilà vraiment homme !… Allez-y ! Mercure disparaît. TEXTE 2. Eugène Ionesco, Rhinocéros, acte II tableau 2 1959 [Dans une petite ville, les habitants se transforment peu à peu en rhinocéros, métaphore de la barbarie. Bérenger, venu rendre visite à son ami Jean, assiste à cette transformation.] BÉRENGER Parlez plus distinctement. Je ne comprends pas. Vous articulez toujours de la salle de bains Ouvrez vos oreilles !BÉRENGER Comment ?JEAN Ouvrez vos oreilles. J’ai dit, pourquoi ne pas être un rhinocéros ? J’aime les De telles affirmations venant de votre part… Bérenger s’interrompt, car Jean fait une apparition effrayante. En effet, Jean est devenu tout à fait vert. La bosse de son front est presque devenue une corne de rhinocéros. Oh ! Vous semblez vraiment perdre la tête ! Jean se précipite vers son lit, jette les couvertures par terre, prononce des paroles furieuses et incompréhensibles, fait entendre des sons inouïs. Mais ne soyez pas si furieux, calmez-vous ! Je ne vous reconnais à peine distinctement Chaud…trop chaud. Démolir tout cela, vêtements, ça gratte, vêtements, ça gratte. Il fait tomber le pantalon de son Que faites-vous ? Je ne vous reconnais plus ! Vous, si pudique d’habitude !JEAN Les marécages ! Les marécages !…BÉRENGER Regardez-moi ! Vous ne semblez plus me voir ! Vous ne semblez plus m’entendre !JEAN Je vous entends très bien ! Je vous vois très bien ! Il fonce vers Bérenger tête baissée. Celui-ci s’ Attention !JEAN, soufflant bruyamment Pardon ! Puis il se précipite à toute vitesse dans la salle de fait mine de fuir vers la porte de gauche, puis fait demi-tour et va dans la salle de bains à la suite de Jean, en disant Je ne peux tout de même pas le laisser comme cela, c’est un ami. De la salle de bains. Je vais appeler le médecin ! C’est indispensable, indispensable, dans la salle de bain dans la salle de bain Si. Calmez-vous, Jean ! Vous êtes ridicule. Oh ! votre corne s’allonge à vue d’œil!… Vous êtes rhinocéros!JEAN, dans la salle de bains Je te piétinerai, je te bruit dans la salle de bains, barrissements, bruits d’objets et d’une glace qui tombe et se brise; puis on voit apparaître Bérenger tout effrayé qui ferme avec peine la porte de la salle de bains, malgré la poussée contraire que l’on devine. TEXTE 3. Christine Montalbetti, Le cas Jekyll, 2007. [Réécriture théâtrale d’une célèbre nouvelle de Robert Louis Stevenson, ce monologue met en scène, sous la forme d’une confession au notaire Utterson, l’histoire étrange d’un scientifique, le docteur Jekyll qui, la nuit venue, se transforme en mister Hyde, dangereux criminel. Il relate l’expérience de sa première métamorphose.] Il y eut un soir où je sus que j’étais prêt. Je le tiens dans ma main, ce breuvage trouble et fumant, avec son précipité orange qui le zèbre en volutes doucereuses, et qui doit me permettre d’opérer physiquement la dissociation de mes pulsions ! La potion que j’ai confectionnée, hop, je me la siffle. Ah, my goodness ! Cette part-là est presque inénarrable. La douleur que c’est. L’arrachement. L’écartèlement. La réduction. Ce qui me paraît se broyer, de mes os. Ce qui se ratatine. La souffrance atroce du rétrécissement. La déformation. Nuit maudite ! Or, aussitôt après la douleur considérable, quelque chose de délicieux se met à me couler dans les veines. Chacune est comme un petit ruisseau tout neuf et riant, et qui irrigue de vivifiantes prairies. Peinture exquise ! Je cours vers ma chambre, je veux me voir dans le miroir de ma coiffeuse. Je gambade avec la même joie, je pense, que les premiers hommes qui s’essayèrent à la bipédie. Mon pas est si sautillant, si léger ! La courette me découpe un carré de ciel qui m’est réservé et qui me couvre comme un dais. La lune très grosse entre abondamment dans la pièce et l’éclaire comme en plein jour. Celui que je vois n’est pas fort coquet, pour sûr. Mais ta vilaine face me plaît, comme un autre moi-même. Il y a dans le mouvement de se reconnaître je ne sais quelle gratification qui dépasse les considérations esthétiques. Que m’importe cette petite taille, cette difformité vague, puisque c’est moi, enfin, sous un nouveau jour, que jusque-là je n’avais pu contempler ! Mais l’aube va naître. Mes gens grappillent leurs dernières minutes de sommeil. Parviendrai-je à reprendre mon apparence d’avant ? Ou bien garderai-je pour toujours ma figure de Hyde? Je traverse la courette dans l’autre sens, vers le laboratoire, avec au coeur un affreux suspens. Non plus sautillant, comme tout à l’heure, mais détalant comme un chat inquiet. J’ai établi soigneusement mes calculs ; or une erreur, n’est-ce pas, peut toujours s’y glisser. Je bois la seconde potion. Sacrebleu ! Dieux du ciel ! Londonienne frayeur ! Mes os de Hyde cette fois s’étirent, mes muscles s’allongent dans des souffrances terribles. Puis cela cesse. Je me dirige de nouveau, encore haletant, jusqu’à ma chambre, et, dans le miroir de ma coiffeuse, je vois qui? Jekyll, qui souffle comme un bœuf, ses jolis traits un peu tirés, mais en tout point semblable à celui qu’il a été. Utterson, for God’s sake, have mercy! Sujet I. Question commune Comment l’écriture de ces trois textes de théâtre rend-elle compte du processus de transformation des personnages? II. Au choix Commentaire vous commenterez le texte de Jean Giraudoux texte A à partir de JUPITER As-tu maintenant l’impression d’être devant un homme ? » jusqu’à la Au théâtre le rôle du metteur en scène peut-il être plus important que celui de l’auteur ?Invention Christine Montalbetti répond à un comédien qui s’interroge sur la façon de jouer cette scène et sur les conditions matérielles de la représentation. Vous rédigerez cette lettre, qui doit contenir des indications précises de mise en scène. Vous trouvez cet article intéressant ? Faites-le savoir et partagez-le. Publié le 07/12/2016 à 1622 Bruno Bayen est décédé le 6 décembre à l'âge de 66 ans. © Jacques Sassier DISPARITION - Écrivain, dramaturge, metteur en scène, il s'est éteint le 6 décembre à l'âge de 66 ans. Il était l'une des personnalités les plus cultivées et les plus romanesques du monde du théâtre. Il avait tout d'un jeune intellectuel brillant et passionné qui avait eu vingt ans en 1970. Pas très grand, assez frêle, portant volontiers des feutres élégants l'hiver et des chapeaux d'été à la belle saison, Bruno Bayen était un artiste à ans, c'est l'âge auquel il avait fondé sa première compagnie, La Fabrique. Cinq ans plus tard et quelques spectacles très remarqués en poche, il est nommé par Michel Guy, Secrétaire d'Etat à la Culture, au côté de Maurice Sarrazin au Grenier de Bayen était d'une culture profonde. Il aimait le passé, l'Allemagne, Monica Vitti. Il avait même rêvé de faire travailler la merveilleuse comédienne, mais elle était tombée malade... Il était toujours surprenant, s'intéressant à des textes rares. Comédien, il avait beaucoup de délicatesse et de sensibilité. C'était un spirituel. Jamais méchant, mais très souvent on repense à son parcours, on ne revoit que des moments uniques par exemple ces Fiancés de la banlieue ouest composés avec son ami Louis-Charles Sirjacq et monté à Bobigny en 1980. On revoit la formisable mise en scène d'Antoine Vitez de Schliemann, épisodes ignorés. Une pièce de Bruno Bayen sur l'inventeur de Troie. On revoit Stella de Goethe, en 2001 ou, beaucoup plus tôt, en 89 à l'Odéon Torquato Tasso du même n'oublie rien. Il imprimait à chaque fois sa marque singulière. Il se battait toujours pour monter ses spectacles après des années très fertiles qui correspondent aux années 1970-2000. Il écrivait. Il traduisait le domaine allemand, les tragiques grecs, il traduisait aussi l'italien. Il écrivait des pièces donc, mais également des romans, de nombreux romans que son ami Peter Handke traduisait en allemand Restent les voyages,Les Excédés. Lorsque l'on a vu, récemment, le film de Wim Wenders d'après la pièce de Peter Handke, Les Beaux jours d'Aranjuez, on a pensé à lui. C'était son l'orée de l'été 2014, en juin, il avait organisé la lecture de sa dernière pièce. Elle était consacrée à Charles De Gaulle. Un parcours, un exercice d'admiration, fidèle à la vraie vie et avec sa matière poétique, imaginative. De grands metteurs en scène, des poètes, des comédiens flamboyants, des poètes comme lui, tel Jean-Marie Patte s'étaient pliés à la discipline de la lecture. On était à La Ruche. Ernest Pignon-Ernest avait composé le carton d'invitation. Tout était qu'aucun théâtre n'avait monté cette pièce qui s'intitule 9 novembre. Il faut lire les romans de Bayen, empreints d'un mystère et d'une grâce à la Des Forêts, à la Blanchot. Parmi ses derniers magnifiques travaux pour le théâtre, il y a une adaptation des Provinciales. Fait avec Sirjacq encore. On ira voir, revoir l'exposition Blaise Pascal de la BnF en pensant à lui qui le lisait tant... Le plus beau jour de ma vie News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 2,4 164 notes dont 43 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Arthur était pourtant sûr qu'avec Lola, ils ne tomberaient jamais dans les clichés du couple ! Mais voilà, aujourd'hui, Lola, 30 ans, élevée au prince charmant, veut une preuve d'amour et une vraie le mariage ! Elle lui vend un mariage idyllique et Arthur, par amour, finit par se laisser convaincre. Mais attention uniquement à ses conditions ! Entre les rêves de petites filles de Lola, les envies anticonformistes d'Arthur, le mariage en grande pompe qu'imagine la famille, et la réalité qui les rattrape, l'organisation du plus beau jour de leur vie va s'avérer plus compliquée que prévue. Pourvu qu'ils ne fassent pas comme tout le monde... mais en pire ! Bande-annonce 143 Dernières news Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critiques Presse Studio Magazine TéléCinéObs Zurban Ciné Live Le Figaro Le Monde Libération Ouest France Paris Match Première Télérama Cahiers du Cinéma Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 13 articles de presse Critiques Spectateurs Une comédie française sans prétentions et qui traite d'un sujet bateau sans cependant engendrer de l'ennui; on se laisse agréablement bercer jusqu'à la fin sans grande surprise; à voir pour la détente... VERY BAD TRIP. Sans surprises avec de nombreux clichés, heureusement que de temps en temps, la ribambelle de seconds rôles qui partent dans tout les sens mettent du piment à ce mariage médiocre. Un mariage de princesse...Hèlène de Fougerolles ne rêve que de ça avec le pauvre Jonathan Zaccaï! 30 ans...l'âge idèal pour s'engager...ou non! Le but essentiel de tout être humain est le bonheur, pour Lola bonheur, mariage et doutes semblent se confondre, Julie Lipinski premier long-mètrage de la rèalisatrice nous propose donc un traitè illustrè digne d'un tèlèfilm sur France Tèlèvisions voire M6 Un film catastrophe sur ... Lire plus Le plus beau jour de ma vie Un Very Bad Trip a la française, délirant, souvent drôle, énergique grâce a pas mal de rebondissement qui donne le rythme. Non vraiment, on s’amuse bien, même si au début, ça peut paraitre du déjà vu avec le scénario. Car, c’est un couple qui se mari puisque tout le monde autour d’eux fond de même, mais ça va pas être facile avec les préparatifs, les doutes, les familles, idéalisation du mariage ... Lire plus 43 Critiques Spectateurs Photos 28 Photos Secrets de tournage Une nouvelle comédie sur le mariage Même si le projet date de trois ans, Le Plus beau jour de ma vie, nouvelle comédie française sur le mariage, suit une mode initiée par Mariages ! et Mariage mixte. Le couple Jonathan Zaccaï / Hélène De Fougerolles succède ainsi au tandem Jean Dujardin / Mathilde Seigner et au duo Thomas Jouannet / Olivia Bonamy. Co-écrit avec Laurent Tirard Julie Lipinski a co-écrit le scénario du Plus beau jour de ma vie avec Laurent Tirard, ancien journaliste de Studio et réalisateur de Mensonges et trahisons et plus si affinités.... La cinéaste déclare à son sujet "J'ai trouvé en Laurent le complément masculin à mon regard. Cet équilibre était pour moi une nécessité. Nous sommes très complices et nous voyons la vie de la même façon." La rencontre Julie Lipinski / Hélène de Fougerolles Hélène De Fougerolles et Julie Lipinski se sont rencontrées en 2001 chez des amis, alors que celle-ci venait d'écrire la première version de son scénario. La comédienne a alors proposé de la transmettre au producteur Manuel Munz. Après lecture du script, Hélène De Fougerolles souhaitait jouer à tout prix le rôle de Lola, un personnage dont elle se sent proche. C'est après avoir fait passer des essais à d'autres actrices que la cinéaste se décida Lire plus 7 Secrets de tournage Infos techniques Nationalité France Distributeur SND Année de production 2004 Date de sortie DVD - Date de sortie Blu-ray - Date de sortie VOD - Type de film Long-métrage Secrets de tournage 7 anecdotes Box Office France 115 333 entrées Budget 5 210 000 € Langues Français Format production 35 mm Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 109437 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires Si les blockbusters hollywoodiens prennent d'assaut le box-office US sitôt les chaleurs estivales de retour, en France, depuis pas mal de temps déjà, une autre catégorie de longs métrages fleurit de toutes parts et à toutes les saisons les films sur le célibat, la vie de couple et le mariage. Le Plus Beau Jour de ma vie est à peu de choses près un Mariages !, étiré sur plusieurs mois et non plus sur les vingt-quatre heures d'une noce. Bonheurs et désillusions d'une telle union amènent ainsi les deux parties à s'interroger continuellement sur le bien fondé de leur décision au contact de leur entourage, tout en permettant au film de tourner sans cesse autour de la question Se marieront ou se marieront pas ? » Mais là où la concentration temporelle une seule journée permettait au film de Valérie Guignabodet de disposer d'un dynamisme et d'une vivacité certes peut-être irritante à la longue, mais où l'ennui était ainsi proscrit, l'effet inverse la dilatation des mêmes interrogations sur plusieurs mois appesantit le rythme du Plus beau jour de ma vie. Parvenus à mi-chemin, Hélène de Fougerolles et Jonathan Zaccaï attachants dans le rôle du futur ex-couple n'ont donc plus d'autres choix que de ressasser encore et encore leurs propres inquiétudes jusqu'à la veille des noces et leurs enterrements de vie de célibataires respectifs, l'occasion d'un véritable petit défouloir collectif et d'une dernière remise en questions avant la cérémonie. Finalement, si l'intrigue était passée plus rapidement du veux-tu m'épouser ? » au bourrons-nous la gueule une dernière fois », sans repasser vingt fois par la case mais au fait, pourquoi est-ce qu'on se marie déjà ? », Le Plus Beau Jour de ma vie ne nous aurait pas laissé la gorge sèche aussi longtemps. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Publié le 12/08/2022 à 0512 "Un spectacle émouvant et criant de vérité, riche en interrogations, d’une justesse phénoménale et absolue… Un tourbillon exaltant, jubilatoire, hilarant… Une réussite totale…", " À voir ou revoir de toute urgence ! ". Trop tard pour ceux qui ont raté cette troisième édition du festival de théâtre Belcastel en scène, des pierres et des planches. À l’heure du bilan, les responsables de l’association "Belcastel accueil information" ont apprécié tous ces commentaires élogieux et savouré le retour de la compagnie de théâtre l’Éternel été qui était accompagnée par la compagnie Caravane et les mauvais élèves dans le cadre de l’événement "Belcastel en scène". Le régisseur belcastellois Didier Landès était à la manœuvre pour mettre en scène un véritable hymne à la liberté juste poignant et drôle… la masculinité avec humour, tendresse, profondeur et sensibilité, pour une version déjantée du songe d’une nuit d’été… Une farce débridée et décomplexée pour une passionnante version burlesque et rock du chef-d’œuvre de qu’un certain nombre de spectateurs a été retenu par la canicule ? Ou mobilisé par la fête de Rignac ? Néanmoins, un millier de personnes a assisté à ces quatre journées, toutes "hypercontentes de la programmation très variée et de la proximité avec les artistes".Pour les artistes qui revenaient "C’était merveilleux, comme toujours ". Chez les nouveaux, ce ne fut que du bonheur "C’est une des plus belles expériences de notre carrière… un accueil fantastique, des bénévoles hyper présents à nos petits soins ".Une quatrième édition ?Tout a été donc mis en place pour la montée de ces artistes professionnels sur les planches et pour conforter durablement la notion de festival. Aux côtés du maire Jean-Louis Bessière, on a pu noter la présence Christine Presse, vice-présidente du conseil départemental, de Jean-Marc Calvet, président de la communauté de communes du Pays rignacois, de Michel Bastide, maire de quatre jours de programmation ont été incroyables par leur diversité et leur qualité. Pour sa troisième année d’existence Belcastel en Scène a conquis une nouvelle fois le public qui attend la quatrième édition avec impatience. Avec encore une meilleure audience ?

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